Ce n'est pas encore l'autre voyage. Si c'est. Le long de la Saône pour s'y rendre. Dans la pièce là. Et toi les frontières, par les airs. Pour t'y rendre aussi. La première phrase est erronée. J'aurais dû tourner ma langue plusieurs fois dans la bouche. Coquille de la langue. Mais non! J'ai bien écrit : ce n'est pas. Je crois que le mollusque marin pourvu d'une coquille est un de nos liens : des moules de Bruxelles, aux couteaux de demain, en passant par les huîtres des halles de Lyon. Notre langue est dans un palais. Elle attrape les testacés. Nous ne serons jamais des chercheurs d'or. Pas sur les bords de la mer, dans le sable ou les galets. Rien dans les têts, pas d'essais dans le test. Mais ce que tu trouves parfois est couvert d'un test. Calcaire. Pas fait main, pas en terre cuite. Je n'ai jamais bu dans un tesson, je n'aime pas. Dans du verre, et transparent. Je serais curieux d'approcher et de voir de mes propres yeux une marne à ostracées : peut-être lors de notre prochain voyage.
Tu ne restes pas dans ta coquille. Si parfois. Et la carlingue de l'avion est
d'un alliage de métaux. Les gênois disent carène. Et le
latin carena signifie coquille de noix. Et si nous décidions que les
mollusques sont dans des carènes. On dit aussi des hommes qu'ils sont
de vrais mollusques.
Ceux-là peuvent être dans des carlingues. Les deux pétales
inférieurs des fleurs de papilionacées forment un carène.
Et dire que nous allons partir en carlingue, et que celle-ci a été
carénée. Et que l'imprimeur pourra faire des coquilles.
A ce jour j'attends que se pose la carlingue, moi renfermé -pas du tout! dans ma coquille. Probablement nous ne franchirons pas le Chanel sur une coquille de noix.
La guerre. Ce n'est pas nouveau. Elle est partout. Toute sorte. Pourtant, origanum, cari ou l'or, il est des parfums. Et là lorsque je pousse la porte. J'ai l'envie de jouer. Enjoué. Courir les rosacées, auprès par exemple du cesarus laurocesarus, entre les magnolias, viornes et autres virbunum tinus. C'est pour l'été qui est là, la voyage qui y mène, après France-Infos qui m'apporte des nouvelles de toi, et sa musique répétitive, pavlovienne. Le poste -le meuble- n'a rien d'une apocynacée avec ses grandes fleurs roses ou blanches, ni lancéolées.
Toi tu es en route, en air et en rails à ma rencontre. Menthe.
Mettre à jour ce qu'il y a dessous, par exemple le curcuma et tout autre épice pulvérisée. Ce n'est pas rendre, mais découvrir. Les matériaux (kourkoum, "safran", scitaminacées) m'ouvrent la langue. Figure-toi cette matière colorante jaune. Elle brûle même ma langue.
Je ne veux que les lauriers que je me donne
Vieux Bréhec. Nous sommes nichés au fond d'un chemin de terre. Comme Bréhec au fond d'une anse, et après c'est la Manche. L'eau glacée, ou le retour par le même chemin. Et je n'aime pas. A 19h30 en juillet c'est la mer pleine. Elle sera basse trop tôt, à Oh47, non, demain 12 juillet à lh40, et puis à 14hO6, mais serons-nous là? Nous serons un jour à basse mer afin de marcher sur les galets et le sable sur la grève riche en palourdes et autres coquillages. Le 12 juillet, demain, la mer sera pleine à 7h47, mais nous dormirons encore. Il ne sera pas encore l'heure du lavazza et de sa bonne odeur. Cahouin, cahora, gahwa, kahvé, kawa, kawo ! J'ai apporté une farde. Pas cette balle qui pèse 185 kilos. Un cahier, une chemise, un dossier. Je suis d'origine belge. J'ai fait connaissance de la Belgique. J'aime ce pays. De l'autre côté de la colline je crois qu'il y a un café, près du port de Bréhec inondé du soleil couchant, en juillet, à 19h3l à pleine mer, le 11. Et ce soir là le héol encore, au-dessus du coat, et à raz du dour, brillait sur les kers, au raz de la mor. Bréhec, penn arbed. Trez disparue sous la mor. Je n'ai ce soir aucun morvan : je joue. Je ne suis pas non plus moulu. Mais mon corps a besoin d'exercice. Moleü. On broie du grain. Et selon Verlaine pourquoi pas un air : "où des orgues moudront des gigues dans les soirs."
Le ciel est nuageux et chargé d'eau, le soleil blanc, les nuages passent devant, le couvrent ou le laissent me caresser, mais timidement, il n'est guère chaud. Peivre, pifer, zuchero, sukkar, çarkharâ, saccharum, sal. Ici le beurre est salé, l'étiquette dit demi-sel. Cela lui donne du piquant, comme cette histoire salée, et moi j'ai une barbe poivre et sel, et l'eau glacée de la Manche laisse sur notre peau un goût salé. Le jardin est étrange avec ses poivres de Guinée, de Cayenne et poivre long. Le plus beau est cet agnuscastus à l'angle nord auprès de la haie de pipiracées couvertes de chatons à petites baies rouges. Face à la mer si proche un ensemble de poivrier charica, cubibe et bétel. Le propriétaire de ce ker rassemblé a fait construire sa maison en poivrière avec à quelques mètres une petite guérite de maçonnerie à toit conique placé en encorbellement à l'angle sud du petit jardin derrière le cèdre. Il y a aussi un plant de piment doux. Mais je ne suis pas un ivrogne : je ne me poivre pas. Je vois bien qu'il y a également, à l'abri et contre le mur de la construction, une rangée de canne à sucre, et parallèlement deux de betteraves. Tu ne mets pas de sucre dans ton café. Mais tu sales bien les mets que tu prépares, ou posés sur la table, comme tu aimes les épices à saveur forte. Comme la vie.
13/7
En aucun cas ce ne fut une marche forcée, mais une sorte de marche tout de même en comparaison à une simple promenade. Je souhaitais depuis des mois une fatigue physique, cette sorte de fatigue saine qui disparaît dès l'effort achevé. Et cette vacance me l'a offerte aujourd'hui : plus que le seul quart d'heure de nage dans l'eau glacée de la Manche, en comparaison cette marche dans le sentier des falaises au-dessus des rochers, les fougères jusqu'à l'eau, et le temps de la basse mer permettant le retour complet par la grève, et l'effort des chevilles, mollets et cuisses, la transpiration sous le vêtement volontairement chaud qui ne permet ni au vent ni à la bruine de le traverser. C'était donc bien le cas, l'évènement. Et pour ce cas, au retour, avant de quitter le vêtement, le cachet de vitamine C effervescent dans l'eau bue. J'ai apprécié cela. C'est bien une manière d'être. Comme cette sorte de coquillage : le crépidule. Il s'agit de s'arranger, et nous y parvenons. C'est en quelque sorte de 1ordre de nos désirs. Ainsi. Et le fait d'envisager cela ensemble.
15/7
De vrais joyaux ces petites pièces de Schumann et de Litz, de vraies perles rassemblées. Et tous ces chants d'oiseaux au-dessus de nos têtes, dans les jardins où les graines ont été semées ou enfouies pour resplendir de couleurs diverses, et donner tant de parfums changeants à notre marche. Sur la mer pleine ou basse, ou la grève en miroir, cela brille comme diamants. Le tapissier utilise ces clous à tête plate et à tige courte. Très rapide et nerveux, j'imagine. Très efficace. Clairs, cristallins. Ouvrent et s'ouvrent. Et des pupilles d'yeux. Tant de fruits et légumes, sans compter des oeufs, dans la coupe en rotin posée sur la toile cirée bleue. Nos lettres envoyées font naître des réponses. Nous portons des germes. La peinture, l'écriture.
16/7
Moissonnée, ou coupée pour découvrir le chemin, rase au milieu, d'une ou deux lignes de terre. Suivant le cas nous marchons sur la ligne rase d'herbe ainsi coupée, un peu plus haute, ou bien sur la terre, tassée. Moissonnée, c'est la saison. Cette plante phanérogame non ligneuse a sa partie aérienne qui meure à cette saison comme chaque année, cultivée ou sauvage, courante herbacée graminée, en gazon herbage pâture prairie pré savane pelouse, mise en herbe céréalement verte courte molle au début de sa croissance, aux ânes (onagre ou agraire), au chantre (sisymbe ou vélar), aux chats (népète, cataire, valériane), à éternuer (achillée ou bouton d'argent), de Saint Jean (armoise, millepertuis). Du pont de Guingamp dans le Trieux, tu en a pris un cliché photographique, pour leurs verts, leur forme au courant de l'eau, leur possible matière aquatique. Dans le jardin de Bréhec dont personne ne semble s'occuper alors qu'il parait propre, cerfeuil, civette, estragon, persil, pimprenelle, toutes aromatiques, cependant que d'autres sont odorantes. Celles-ci pas sèches encore comme ce que les fermiers ont déjà mis en meules, roues ou carrés, suivant leurs machines, vite avant que les pluies ne les mouillent. Eux, c'est sûr, ne dépensent pas. Auparavant certains blanchissaient de la toile et des draps. D'autres font des collections et les présentent par planches. D'autres encore en ont des magasins, qui deviennent rares, comme d'ailleurs les marchés. Erbe. Ils mettent les bêtes en divers lieux. Ceux-là parfois sont peu imprégnés d'eau, cela dépend du climat. Et suivant la langue aussi, si l'on ne sait pas que le substantif est masculin ou féminin, nous avons plus d'attention au signifié de l'adjectif non accordé, et la phrase ainsi sonne comme un bruit, comme abstraitement aussi, mais en une autre occasion nous pouvons rester incapable de réponse. Tous les trois ans, dans les Dombes par exemple, ils vident l'étang dont l'eau se déverse dans le champ qui jouxte. Souvienstoi également que pendant les six heures de la mer montante nous avons bu rudement, et le dessin, et le contour en arc de cercle dans l'anse. Et tant de tendresse.
17/7
Les tourterelles ne font pas que roucouler lorsqu'elles volent elles crient comme les mouettes. Nous oublions chaque jour d'acquérir des cartes à jouer. Il y a peu de place ici pour le factice. Un foisonnement de feuilles réaffirme mon ignorance. Comment penser même à une étude, un patron, un plan ou même à un projet. En rien je ne puis faire un carton. J'exagère, ne soyons pas si pessimiste : mais je ne m'intéresse pas à la cible. Nous admirons des petites cartes géographiques. Et toutes ces archives conservées en boites. Et tous ces emballages, pour les cartes à jouer, les dessins, l'alimentation, faits en pâte à papier. Les champs de blé et de froment nous entourent, et courent parfois jusqu'au bord des falaises juste avant les fougères. Ce blond et ce vert, cet ocre, cet or, au milieu de l'été. Il est fait fête à Céres. Tu détaches, parfois tu croques, les grains à travers leur enveloppe. Si le sarrasin est une polygonacée, les avoines, blé, maïs, millet, orge, riz, seigle et sorgho sont des graminées. A nos premières escapades du Printemps, outre les jaunes du colza, et avant de blondir, tout était vert : nous en avons suivi le cours. Le monde moderne nous livre cela dans les grands magasins et sous carton.
19/7
Molim vas sto imazajelo? Koi je vas spécijalitet? Salata? Jaja u salati? Ne? Salata. Nous avons déjà écrit plus avant que tu préfères les mets salés. Et ce que tu as dessiné là, il est possible de le préparer en feuilles -non pas épaisses ou carta, mais d'herbes- d'herbes potagères crues, assaisonnées d'huiles, de vinaigre et de sel. Mais ces mets froids, tu peux les faire certes avec des légumes -ce que tu dessinais, sans préparation culinaire- et aussi avec de la viande, des oeufs, des crustacés -des coquillages par exemple, mais si tu les dessinais aussi, c'était la coquille, pas le mollusque dans la coquille, or c'est avec le mollusque dans la coquille qu'il peut se faire une salade. Mais je ne veux pas faire de cela un mélange confus et y attacher de l'importance. Ni vendre à tout prix ma raison. Encore moins en faire des histoires! Ciel! Pour me garder d'une fureur je porte un casque profond et arrondi à visière courte et à couvre nuque. A sa dureté il est aisé de voir que le caelum n'est pas encore mûr, non plus, servir à table ces fruits et céréales. Et je ne m'inquiète pas de toutes ces choses choquantes même si je les fustige, les dénonce, et qui mènent le monde. Le caelum me carapace, et entre le bleu et le jaune, d'autres aussi tentent ainsi de garder leur vigueur et d'être vaillants. Prendre du repas à la campagne y aide. Chlorophylle.
20/7
Tu remplis tes poches de chaillos, parfois tes mains, lorsqu'ils sont si gros, roulés et arrondis par les mers, polis, striés, souvent plats. Il y eut les blancs, les noirs, ici en Manche les roses de granit. Ce sont des galets, tous fragments de pierres. La joaillerie, dans ce geste de ramasser, t'importe peu. N'empêche que si parmi les caillasses tu trouvais un cristal de roche, un quartz, tu serais bien surprise! Et avec cela tu pourrais construire une rudenture à une colonne, ou simplement disposer au sol tout entier une rudération, monochrome, ou irisée des pierres de diverses couleurs, comme l'érosion des eaux le fait au bord de la grève au bas de la falaise qui ferme l'anse ou termine l'aber. Et alors monumental, comme ruine d'une place forte, ou d'un cirque avec ses larges gradins marbrés et striés où on peut imaginer l'exercice des rites, des sacrifices, aujourd'hui la possibilité du spectacle qu'on pourrait y mettre en cette scène.
(Lorsqu'on a travaillé sur sa langue, il y a des expressions devenues toutes faites par une langue dominante qu'on n'emploie plus (1)).
(1) par exemple : Pierre n'amasse pas mousse.
26/7
Quels caractères? Ceux choisis à dessein pour former le mot, et nettement, que tu lies les uns aux autres. Question de corps. Accompagnant le dessin il le gardera présent en mémoire, le nommant. Le phonème et parfois le groupe de phonèmes participent à la forme et au fond. Exactement. L'exactement comportant le tout possible. Le tien -clair ou non- celui du regardeur s'il veut bien lire l'ensemble. L'ensemble formant le dessin (le phonème n'étant pas le titre), et le dessein. Je ne pense pas qu'ici le signe graphique ou la graphie elle-même ait bien de l'importance. Quoique.
Je ne porterais pas le volumineux courrier que contient cet écrit épistolaire. Je t'en remettrai les épreuves en main propre, je le corrigerai afin qu'il devienne ouvert, et fasse texte. L'ensemble des signes graphiques combinés ensemble et représentant un groupe de phonèmes qui sera en première page du volume fera bien, quant à lui, titre.
Cet écrit est en effet ouvert.
2/08
Eucalypte Kérouac, je l'ai baptisé bien profanément comme cela, et je prénommerai bien aussi tous ces amis qui fréquentaient le Vésuvio autant que la City Lights Bookstore de Ferlinghetti jusqu'où le vent apporte du Pacifique si proche l'odeur forte du Golden Gate Garden de ces feuilles pointues qu'on rapporterait à brassées, et des glands ramassés à terre. Le limbe du calice reste fermé jusqu'à la floraison.
Le deux Octobre 1988 ce dut être une belle fête lorsque furent inaugurées Ambrose Bierce Street, Via Bufano, Richard Henry Dana place, Isadora Duncan lane, Dashiell Hammet street, Bob Kaufman street, Kenneth Rexroth place, William Saroyan place and Mark Twain plaza! And the Kramer too, juste au-dessous du télégraphe, Telegraph Hill, where we made a photography with you.
8/08
Les plantes solonacées sont d'Amérique, elles sont hautes et
à larges feuilles, et contiennent un alcaloïde toxique. La mosaïque.
En 1665 on en fait un produit manufacturé vendu sous diverses formes,
produit avec les feuilles séchées et préparées pour
priser, chiquer, fumer. Soit des pétuns, soit des perlots. Fort, brun.
Ou léger, d'Orient. Ce matin, à huit heures, l'été,
déjà la lumière, la chaleur, et je me transporte en Asie.
Ce soir la fenêtre ouvre la nuit dans la pièce, il fait frais mais
je sens l'Asie. L'absence du concert de grenouilles le fait exister. J'achetai
l'herbe sur le marché de Vientianne. Ce n'est pas une blague, mais au
poids sur la balance. Débit, bureau. Avec, en France, sa carotte. C'est
toujours la même chose. Pour moi, non. Pour la société,
oui. Brun roux. Je n'ai jamais eu cette volée de coups, mais vécu
des tempêtes. Pas eu de grands succès si ce n'est dans une si petite
assemblée.
Je prise dans le creux de ton poignet.
Etre ou ne pas être solitaire. Nous pouvons être seul avec quelqu'un
et seul avec quelqu'un. Drôle de langue. Et nous aimons être seuls,
seuls ensemble tous les deux seuls. Hier en fin d'après-midi la cavalière
menait son cheval dans le bois du parc. Certains sont uniques en leur espèce
: comme un singleton. Nous sommes, il faut le savoir, sans aide. J'écrivais
: personne ne peut rien pour nous, nous ne pouvons rien pour l'autre. Et puis
il y a l'un, l'une, le, la. De la sorte qu'il y a aussi deux, et parfois inséparables
si l'on n'en veut casser l'harmonie, ou la grande valeur, parce qu'inséparables.
La sourte, la société, la compagnie. Dans l'inconscient, mais
aussi par dessein, tu assembles en dessin et découvre par frottage trois
mots dont le sort, le rang, la condition et la catégorie forment perfection
d'assemblage. Tu as arrangé cela. Plusieurs objets de même qualité
: le, deux. Manière d'être. Et qui permet de caractériser
l'objet individuel parmi d'autres. Isolé, ou par deux. Par deux, chacun
des deux est bien existant par lui-même. Ainsi nous pouvons en faire la
comparaison. Ils se ressemblent ou non. Ils sont assemblés. Nous pouvons
les envisager ensemble, et envisager qu'il n'est pas pensable qu'ils ne soient
ensemble. Auprès de l'un il y a l'autre. A côté, à
l'égard, en proportion, au prix d'effort, en regard, relativement, souvent
vis à vis. Et dans le dessin, réellement, très justement
dans le dessein que tu en avais c'est le rapport établi entre un objet
et un terme dans le langage. L'analogue, l'approchant, l'assimilable. Dans la
chambre il y a les peers. Lorsque les deux sont ainsi rassemblés, y a-t'il
échange de travail? Lorsqu'ils sont si semblables?
Il s'agit de ne pas faire d'impair, qui ferait jeter le dessin. Comme le dessein.
Et s'en aller. Les deux peuvent être différents, les deux qu'on
rassemble, qui ne sont plus seuls, ils deviennent tous les deux seuls, ils se
retrouvent seuls et ont ainsi des rapports. Ils peuvent être pareils.
Nous en faisons la comparaison. Et toi par le dessin en ton dessein et par la
langue tu rassembles trois en un seul.