Lorsque le peintre est saisi comme l'animal, alors il est le modèle.
Une autre fois je ferai un geste en mémoire des ovaires de Maryline sur un air de Franck Sinatra.
Pour l'instant c'est Albator qui m'occupe, mon projet à venir est d'aller serrer la main à Corto Maltes, et lui parler de peinture :
de comment Darwin est devenu mon pire ennemi,
de comment le cosmique et le son des larmes s'installent,
de comment il s'agirait d'envisager des piqûres d'amour,
de comment les taches des premières gouttes de pluie sont à l'origine de toutes les fêtes
S(P)A. juillet 2007